Naissance de «Les Echos Week-End», le nouveau magazine des «Echos»

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Demain « Les Echos  » lance son magazine de fin de semaine, « Les Echos Week-End « . Comme pratiquement tous les quotidiens de référence dans le monde, votre journal aura désormais son supplément hebdomadaire, conçu par une équipe composée de Bénédicte Epinay, Henri Gibier, Laurent Guez et Fabien Laborde, après dix-huit mois d’études et de tests.

Son offre tient bien sûr compte de l’attente spécifique des managers qui nous lisent. Avec « Les Echos », ses cahiers, son site web, et ses applis mobiles, ces derniers sont déjà bien armés pour comprendre et décider. Ils en sont pleinement satisfaits puisque depuis maintenant six années, cas unique dans la presse française, les ventes du quotidien sont en hausse.

Mais la valeur d’un manager, qu’il soit à la tête d’un groupe en pleine ascension, d’une start-up ou d’une PME bataillant pour se développer, ne se mesure pas qu’à son comportement affûté du lundi au vendredi. Ses intuitions, sa vision du monde, autrement dit la personne qu’il est aussi du vendredi soir au lundi matin, comptent aujourd’hui presque tout autant.

C’est pour explorer cette autre dimension de la vie de ses lecteurs, que « Les Echos » a imaginé un magazine construit autour de quatre piliers : des aventures inspirantes du business, de la culture, des pages dédiées à la qualité de la vie, au style et à la mode, enfin des articles approfondis sur les préoccupations plus personnelles des dirigeants, liées à l’éducation des enfants, l’entretien de soi, la bonne utilisation de son temps libre, ou la gestion de ses relations.

Tous ces thèmes, l’équipe des « Echos  » veut les aborder avec la même rigueur que celle qui est appliquée chaque jour dans le quotidien et avec le souci de rester en prise avec l’actualité. Mais de la même façon que ses lecteurs, notre titre le fera « en tombant la veste « . Autrement dit, à travers une maquette aérée et chic, mise au point par deux des meilleurs experts anglo-saxons en la matière, des enquêtes qui privilégieront le mode narratif et le long format, sans jamais perdre de vue le confort de lecture et l’accessibilité au plus grand nombre, et des sujets, à la fois distractifs et instructifs.

Bien entendu, ce magazine aura aussi une vie sur le web. A vous de juger demain si le pari a été réussi. La première « cover » met en vedette Patrick Drahi, le patron de la galaxie SFR-Numericable qui intrigue beaucoup la communauté des affaires, avec ses acquisitions à répétition et un endettement commençant à donner des sueurs froides à la Bourse.

On n’avait jamais entendu le nouveau magnat français des télécoms parler avec la liberté de ton dont il fait preuve dans l’enquête signée Fabienne Schmitt. On n’avait encore jamais vu sa photo, petit enfant, tenant un téléphone à la main, tel que le fait découvrir l’image de couverture. C’est pour pouvoir apporter un éclairage inédit sur les autres faces de la vie des affaires, comme le montre cet exemple, que « Les Echos » a voulu, lui-aussi, avoir son magazine.